Ne plus subir le changement et s'adapter - Dépasse tes Frontières
1996
post-template-default,single,single-post,postid-1996,single-format-standard,ajax_fade,page_not_loaded,,qode-title-hidden,qode_grid_1300,qode-theme-ver-13.2,qode-theme-bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-6.2.0,vc_responsive
Blog-article-changement-sadapter-ne-pas-subir

Ne plus subir le changement et s’adapter

Le changement n‘est pas forcément synonyme de traumatisme. Les choses peuvent changer et bien se passer. Voire être mieux qu’avant ! Certains d’entre nous sont assez réticents face au changement alors que la seconde partie clame en avoir besoin. Puisque le changement est inhérent à nos quotidiens, dans cet article je vous propose deux questions à vous poser pour ne plus subir le changement.

 

Vous retrouverez la version écrite sous la vidéo.

 

La perception du changement

J’ai déménagé au moins 19 fois dans 6 pays différents.

Quand je dis ça, en général les gens me regardent avec de grands yeux. Comme si autant de changements avaient du laisser des séquelles et me traumatiser à jamais.

Et bien non ! Certes, certains ont été plus mouvementés que d’autres. Mais globalement, tout va bien. Et pourquoi ? Car je sais comment ne pas subir les changements.

 

La réalité

Tout d’abord, il faut être conscient qu’un changement va être plus facile à vivre si on le choisi plutôt que s’il nous est imposé. On va, en général, mieux vivre le fait de démissionner que de se faire licencier.

Dans tous les cas, la plupart du temps on dépense énormément d’énergie à ruminer autour de ce changement. Hors, en réalité c’est de l’énergie perdue puisqu’on n’a pas les capacités à faire machine arrière. Je parle de changements du type : confinement, annulation de dernière minute d’un vol, travaux sur notre route habituelle travail-maison et détour obligatoire de 15 minutes etc.

Vous allez me dire que ces changements ne sont pas graves.

Et c’est vrai. Vous avez raison.

Cependant , je connais plus d’une personne qui a coup de « mais c’est pas normal », « pour moi ça engendre ceci et cela » peut parler des heures de cette situation sur laquelle elle n’a pourtant pas d’emprise.

 

Acceptation Vs résignation

Accepter le changement ne veut pas dire se résigner. Par contre, sachant que ce changement est imposé. Que l’on n’a aucune emprise dessus, est-ce que cela sert à quelque chose de ruminer sur tout ce qu’il y avait avant et de voir le verre à moitié vide sur la situation de maintenant ?

Peut-être que ce changement, même s’il est imposé, va engendrer des choses positives. Des choses auxquelles on n’aurait pas pensé si tout était resté « comme avant ».

 

Mise en pratique

Lorsqu’un changement s’impose à vous, je vous propose de vous poser ces deux questions :

  • 1è question : qu’est-ce-ce qui va me manquer par rapport à la situation passée ? (parfois, on se rend compte que c’est plus l’idée que l’on avait des choses d’avant qui va nous manquer et pas tant les choses en elles mêmes.)
  • 2è question : qu’est-ce que la nouvelle situation vous donne la possibilité de faire ? d’expérimenter ? de découvrir ?

Très souvent, vous allez vous rendre compte que la 2è colonne est plus remplie que la première.

C’est un exercice que je donne très régulièrement à mes clients qui sont expatriés quand ils sont sur le point de changer de pays ou qu’ils viennent d’arriver dans un nouveau pays qui ne les a pas encore séduit.

 

Prendre du recul

Prendre du recul sur la situation et ne pas se monter soi même la tête par rapport à tout ce que le changement va engendrer est la clé pour accepter le changement et ne pas subir les choses.

Si vous souhaitez aller plus loin dans la perception des situations que vous vivez, je vous propose le challenge : 5 jours pour être mieux dans ses baskets. En vous inscrivant à ce challenge, vous recevrez chaque jour une nouvelle vidéo qui vous permettra pas à pas de booster la confiance en vous et de ne plus subir les choses.

J’espère vous y retrouver!

A bientôt

Pas de commentaires

Poster un commentaire